Fanfiction Higurashi : Supporte et abstiens-toi

( nous verrons nous verrons x) j'en suis capable nyark )

Vouiiii te fais pas de mal ;_; sinon j'en ferais une maladieeeeuuuuhhhh =_=

(euh ..je maintient ma pensée)

que me vaut cette saute d'humeur affective ?

Nani ? Sa veux dire quoi sa =_= ? Sui vexee la... <<

^^
c,est juste rare que tu dises ces choses la...
pas de quoi etre vexée , je suis juste surpris XD

Ah....Vu que je prenais sa...hum, disons, mal.....Tres mal meme, mais bon...

( T'aisje deja dit que je te detestai ou autre ? Je m'en souviens pas.................................)

non non o.0
t'ai juste pas du style a autant exprimer euh ..tes sentiments disons..
mais je me suis surement trompé ^^'
c,est juste ..que je trouve super gentil ce que tu as dit...

Ben je me rend malade pour un rien ( exemple : gros cassage par plusieurs = 6 mois a digerer -_- ), alors imagine la mort de quelqun que j'apprecie....erf...

ben ..on y est pas encore va
la je vais tres bien ...
puis il faudrait que se soit dans les deux sens ..je veux pas que tu ailles mal non plus >.<

Nyehehe ^^

On verra par la suite.

XD
on a rien sans rien...ralala...
n'empeche que j,attends de voir un écrit joyeux o.0

" Quand tu danses avec le Diable… C'est pas Lui qui change.

C'est toi.

Silence. Comme toujours. Profiter du repos. Profiter de Son sommeil. Elle se lève doucement et fait quelques pas. Le silence encore et toujours. Enveloppant. Exaspérant. Je hais ce silence. Pour oublier, fait quelques étirements en fredonnant la seule chanson qu'elle connaisse. On dirait qu'elle danse.

– Eh bien, toujours en forme au réveil.

Sursaut, un regard rapide par-dessus l'épaule. Elle voit sa main ouverte tendue devant Elle. De là où elle est, je dois avoir l'air de…

– Oui, tu danses dans ma main, mon petit oiseau. J'aime ton chant. Tu me le chantes ?

– Je ne connais pas les paroles.

Mensonge. Elle a passé des heures à l'apprendre à la perfection au contraire. Pour faire plaisir à son seul ami.

– Alors siffle l'air.

Voix impérieuse. Frissons. Ne pas l'énerver. Sinon…

– Je… ne m'en souviens plus. Elle va et vient dans ma tête.

Mion comme tu serais déçu de me voir ainsi… Idiote que je suis… Tu dois te réjouir au contraire… Sa main reste tendue. Son regard parcourt son corps. Il est doux. Frissons de dégoût malgré tout. J'avais oublié que j'étais nue… Ses yeux me brûlent.

– Tu trembles… Tu as froid ?

Une sorte de prévenance ?… Impossible. Un nouveau piège, encore un jeu… Le regard de son vis-à-vis reste aimable.

– Suis-je bête, je sais bien pourquoi… tu as peur, hein ?

Ne dis rien. La parole est la douleur. Méfie-toi toujours de la gentillesse. Souviens-toi il y a si longtemps…Un soupir. Ne pense pas au dégoût.

– Une chose pourrait me réchauffer…

– Quoi donc ?

Des mains qui se posent sur sa taille. Ses yeux le piquent.

– Un baiser…

Sourire amusé. L'Autre agrippe sa nuque. Frissons. Voix presque méchante.

– Tu pensais m'avoir si facilement ? Si tu veux vraiment me tuer, frappe ici alors…

Son cœur. La main de Shion la démange. Elle la lève. Tremblements. Pensées confuses. Ce serait si simple. Si facile. Il suffirait d'oublier après. Un hoquet. Des larmes amères. Elle s'effondre dans Ses bras. Une main douce sur sa tête, dans ses longs cheveux. Je n'en peux plus, il faut que ça cesse…

Une supplique.

– Sauve-moi… Je t'en prie, sauve-moi de…

– Je ne peux pas. Le seul moyen de te sauver maintenant, c'est de te tuer.

Larmes de haine. Mon esprit s'enfonce encore. Je veux que ça s'arrête…



Shion restait au soleil comme elle aimait le faire, entouré de quelques pins parasols. Elle avait apporté une petite fiole avec elle dans laquelle se trouvait un tout petit peu de liquide clair. Elle s'en était mis sur les mains puis avait pris un peu de graines et avait ouvert les paumes devant elle pour attendre l'arrivée de ses compagnons oiseaux. Ils ne s'étaient pas faits trop attendre. Les plus téméraires avaient rejoint la coupe formée par les petites mains et picoraient la nourriture enrobée de ce liquide. Ça devait être sans goût…

Mais surtout, son expression. Vide. Ou plutôt indifférente. Au bout de quelques minutes, les oiseaux semblèrent ne plus avoir d'appétit. Les oiseaux s'envolèrent. Enfin pas tous. Ceux qui avaient mangé dans ses mains restaient au sol, apathiques. Ils avaient l'air d'avoir du mal à respirer. L'une des mésanges se roula en boule et petit à petit, tomba contre le sol jusqu'à ne plus bouger, bientôt suivie par les autres mangeuses.


( on me tue pas, chui crevee deja au reveil, plus jamais jirai me coucher a 5h du mat' cest du suicide latent '_' )

j'adore ^^ (te plain pas,souvent,je ne dort meme pas de toute la nuit*

5h du mat la folle ! si J,avais su je serais revennu..
surtout que ..j'ai plutot mal domi ..et c,est de ta faute ..avec ..ce...arf..
je ferai mieux de me taire ..mais j,ai aimé cette soirée ...

ah et en fait ..pour le chant d,attendra ..non parce que la
faut pas trop demander non plus ^^''
(je sais mm pas quoi chanteeeeeer ..pi aprés ...enfin non , encore une fois je me tais)

ah AH ! je sais ce que je vais chanter PTdr
si j'ose ..on verra MDr

Steuplaît ;_;.....

je fais juste une fausse note..c,est vraiment pas facile a chanter ca ...

"mon amour je t'ai vu au beau milieu d'un reve ,
mon amour un aussi doux reve
est un présage joli ,
refusant tout deux , que nos lendemains soient mornes et gris ,
nous attendrons l'heure
de notre bonheur ,
toi ,ma destinée , je saurais t'aimer ,
j,en ai revé ..."

ca te va ? *éclate de rire*

Jai le droit de dire que cest "legerement" guimauve? =_=

M'enfin tant que tu chantes avec ta zoulie voix <33....

mais...tu vois vraiment pas ce que c'est ?? o.0
raaa inculte ! c'est la belle au bois dormant de disney ! Ptdr
ou alors t'as :

"J,ai revé qu'on pouvait s,aimer
au souffle du vent
s'élévait l,ame l'humanité
son manteau de sang
J'irai cracher sur vos tombeaux
n,est pas le vrai , n,est pas le beau
J,ai rever qu'on pouvait s'aimer"

Jamais vu ce disney...........
( meme si je connais l'histoire )
XD

c'est loin d'etre celui que je préfére mais j,adorais emmerder ma soeur en chantant cette chanson...

XD alala...

Mion avait beau chercher partout, aucune trace de sa soeur. Elle venait de retourner la demeure presque en son entier pour lui remettre la main dessus, vainement. Le matin, elle l'avait suivi de nouveau jusqu'à la clairière. La môme avait donné à manger à des oiseaux suicidaires, puis était reparti, sans avoir remarqué sa présence visiblement. Pourtant, Mion savait très bien qu'elle avait eu conscience de ne pas être seule : plusieurs fois, Shion avait parlé à haute voix, visiblement aux oiseaux, mais elle n'était pas dupe… Ça fait plusieurs fois que je te vois, toi, au milieu des autres. Tu sais pourtant que tu ne dois pas t'incruster. Ils pourraient te faire du mal à force, tu ne crois pas ? Maudite gamine.

Toujours aucun signe.Jalouse, merdeuse ? Peut-être. Elle creuserait un peu plus la question. Trois heures qu'elle la cherchait maintenant, elle commençait à déclarer forfait. Elle s'arrêta, mains sur les hanches. Son espionnage du jour avait lamentablement foiré. Elle n'avait pas dit son dernier mot.



– Papa, pourquoi tu ne me parles jamais de toi ? lança Shion.

– Parce qu'il n'y a rien d'intéressant à dire.

Manœuvre pas assez habile pour ne pas être grosse comme une maison.

– Moi, j'aimerais en savoir plus. Toi, tu sais tout de moi, ce n'est pas équitable.

– Je ne sais pas tout. Si tu y tiens, peut-être que je t'en dirai plus…

– Comme tu veux.

Tu t'inquiète trop. Tu n'as pas tort, ma petite fille .



Le mal de tête la reprit.

Tu as assez fait de mal comme ça, arrête tout ça !

– Tu me casses les oreilles à brailler… Mes méthodes sont un peu rudes, je le reconnais, mais tu verras qu'elles serviront.

Je ne te laisserai pas faire !

– Aahahahahahahaha ! Mais vas-y donc, essaie de m'en empêcher ! Tu n'es qu'une voix nasillarde dans notre corps.

Mon corps, celui que tu m'as volé. Je le récupèrerai, sois-en sûr, je…

– Arrête ça. Si tu veux te bercer d'illusions, fais-le ! Mais tu seras forcé de reconnaître la vérité : nous sommes un et indivisible, ça a toujours été ça ! Toute lumière a son ombre ; je suis ton ombre, celle que tu as voulu nier. Tu as besoin de moi. Regarde comme nous sommes bien ici. C'est là que nous aurions toujours dû être. Et ce n'est pas grâce à toi, la Sainte-Nitouche.

Tu n'es qu'un monstre qui…

– Monstre ? C'est moi, le monstre ?

Un sourire mauvais étira ses levres.

- ...Moi ?

Tu… Tu avais obscurci mon jugement… je…

– Tu es plus un monstre que moi.

La voix de l'Autre ne se fit pas entendre.

– Tu finiras par accepter le poids de tes péchés. Maintenant, laisse-moi.

***

Le soleil brillait ce jour-là. Il avait fait chaud et beau. Cela faisait si longtemps qu'il était parti.
– A quoi penses-tu ?

Il avait presque oublié la jeune femme à ses côtés.

– Pardon ?

– Quand tu regardes dans le vague comme ça, c'est que tu penses à quelque chose, reprit-elle avec malice. Comment s'appelle-t-elle ?

Elle sirota un peu de son diabolo menthe, attendant sa réponse. Le jeune homme se rassit correctement dans son fauteuil en osier.

– Je pensais à ici. Pas à une jeune femme.

Il lui sembla voir un sourire soulagé sur les lèvres de sa vis-à-vis. Elle rejeta en arrière ses longs cheveux d'un mouvement de main élégant.

– Il y a longtemps que tu es parti, en effet… Juste après la mort de tes parents. C'était… il y a presque quinze ans maintenant, non ? Où as-tu été depuis tout ce temps ?

– Ce n'est pas quelque chose d'intéressant à te dire.

Il but un peu en cherchant quelque autre sujet de conversation.

– Je pourrais te retourner la question, Akane.

– J'ai été étudier à la capitale et je suis de retour ici depuis l'année dernière.

– C'est très… Bref.

– Pas la peine d'évoquer ça, puisque ce n'est pas comme ça que ça s'est passé. Les regrets ne servent à rien.

– … Alors, pourquoi es-tu à Hinamizawa ?

– Pour le travail. Quelle drôle de coïncidence que nous soyons dans le même hôtel…

– Moi aussi, j'ai à faire ici. Je suis si contente de te revoir ! Tu n'es plus le gamin que j'ai connu… Tu es devenu tellement mignon.

– Akane… Tu sais que je pourrais mal interpréter ce que tu dis ?

- Je sais.

***

Figlio di puta !

Akane fut tiré de sa sieste par la mélodieuse voix de sa fille aînée. Elle ouvrit les yeux et mit un moment à se souvenir d'où elle était, alors que l"adolescente enragé continuait son fleuve d'injures et malédictions à l'extérieur de sa maison.

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Je te protégerai toujours

Je ferai tout pour toi

Je veillerai sur toi

– Je t'aime.

Je t'aime moi aussi

Je veillerai toujours sur toi



Vois sur ton chemin
Gamins oubliés égarés

Donne leur la main

Pour les mener

Vers d'autres lendemains

Sens au cœur de la nuit

L'onde d'espoir

Ardeur de la vie

Sentier de gloire

Les Choristes – Vois sur ton chemin

tu sais que je me suis inquieté ? niarf
tu m'as fais faire un drole de reve , plutot désagréable...^^'

enfin ...j,aime le début et la fin du texte...

Je te raconterai le reve si tu veux, et sa plus tard aussi...Sa s'est dissipé mais les mâles tirent toujours une gueule de 5 metres de long, plaisant...
Merçi de t'etre inquiete aussi...

si ca t,aide a aller mieux , je serai toujours la pour écouter....
tant mieux si ca s,est dissipé..c,est deja ca...

je suis en train d'écrire ..et je ne sais meme pas ce que j'.écris...
des bouts de phrases par ci par la...
il va falloir que je les assemble...j,ai trop d'idées dans la tete en ce moment , et J,arrive pas a les exposer clairement ..que se soit en poeme , dessin ou texte...

ca t'es deja arrivé a toi ?

Ben de toute façon le mal est fait, et jai bien mal a la cuisse '_' mdr

Oui pour les idees, mais je les oublies ensuite ^^"
Je ne peux pas vraiment te conseiller...A pars continuer d'écrire, de garder ces ecrits, et de savoir comment les exposer table rase a plus tard....... ( dé, je sais, je suis pas d'une grande aide T.T )